Les entreprises de premier plan concentrent leurs efforts sur trois domaines interreliés : la durabilité environnementale, la durabilité des RH et la responsabilité sociale de l’entreprise.

L’importance grandissante qu’on accorde aux employés en tant que parties prenantes est un trait caractéristique qui est apparu l’an dernier et s’avère constant en 2021. Selon l’Enquête de Mercer sur les tendances mondiales en talents, 65 % des responsables des RH au Canada ont assuré la continuité ou accéléré la transition vers une approche opérationnelle axée sur les aspects environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) et les objectifs multilatéraux.

 

Cette importance accrue que l’on accorde à l’empathie se reflète dans tous les aspects de la rémunération des dirigeants. Pour les dirigeants, une nouvelle définition du rendement devrait refléter les objectifs suivants :

 

Lisez nos plus récentes perspectives sur les façons de rehausser l’alignement de la direction à la raison d’être de l’entreprise et de favoriser une philosophie axée sur les parties prenantes. Il faut reformuler trois aspects essentiels de la rémunération des dirigeants :

 

  • Comment rémunérer?
  • Quand le faire?
  • Et quelles compétences devraient être rémunérées?

Comme pour tout nouveau mécanisme de rémunération, nous nous attendons à ce que le programme de rémunération fondé sur la raison d’être de l’entreprise soit adapté aux circonstances de chacune. Cela prend une entreprise audacieuse et courageuse pour prendre un risque sur quelque chose de nouveau, surtout s’agissant d’une question aussi controversée que la rémunération des dirigeants. Mais les entreprises courageuses qui prennent ce risque s’en sortiront mieux à long terme.

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En savoir plus sur la rémunération des dirigeants axée sur la raison d’être de l’entreprise.

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